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A 14h28, pendant le tir de l'artillerie, la compagnie de 1ere ligne du bataillon de droite (2e Compagnie. Capitaine Jérome) s'élance hors de la tranchée et d'un seul bond atteint le Bois Carré, presque sans pertes. Elle s'y maintiendra toute la journée, essayant vainement de s'organiser et de se mettre en liaison avec le bataillon : tous les hommes qui cherchaient à revenir sont tués mais en butte aux feux ennemis de toute part, elle perdra peu à peu, presque tout son effectif et à la nuit, les quelques survivants, dont le capitaine arriveront péniblement à rentrer dans nos lignes. | Gaston Bénard Alfred Dolques Albert Jérôme Jules Guillemette Frédéric Ponselle |
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La
compagnie suivante (3e Compagnie) qui, à sa gauche, a
débouché de la tranchée du Parados tombe sous le
feu des mitrailleuses situées dans les tranchées du Fond
de Buval et auprès desquelles les allemands ont pu retourner
après un bombardement inefficace. Son mouvement échoue.
Elle repart une deuxième fois, sans plus de succès. |
Raymond Chaumeron Mauricet Chemin & Gaston Lemaître Adolphe Orange Jules Vottier |
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Plus à gauche, la compagnie qui était dans la tranchée des Saules (8e Compagnie) sort de la tranchée, mais est immédiatement décimée par les mitrailleuses et le tir d’artillerie. | Ernest Clouard Maxime Pottier Henri Vaquette |
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Le même sort est réservée à la 7e Compagnie, dont les hommes tombent à mesure qu’ils sortent. | Maxime Happe Lucien Kra |
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La Compagnie placée dans la parallèle (6e Compagnie) se porte vers la partie allemande de la tranchée des Saules, où elle est en prise à partie par les mitrailleuses. Elle arrive néanmoins à sauter dans la tranchée allemande, où elle combat pendant un certain temps, mais qu’elle est finalement forcée d’évacuer. | Charles Simon Raymond Chamerot Henri Lamy |
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La Compagnie placée en arrière de la précédente (5e Compagnie) essaye de la rejoindre : elle est fauchée par le feu ennemi. | Jean Léon Daniel Martinon Albert Thierry |